Mais il y avait d'autres beautés qui nous éblouissaient sur ces terres.Outre les paysages et l'architecture, il y avait la peinture espagnole avec trois noms au firmament: Greco, Velásquez et Goya, à me gaver des désastres de la guerre, à ne pas tout à fait comprendre qu'ils pouvaient représenter toutes les guerres, même celle qui avait provoqué l'exil familial. Cette violence et cette noirceur excitaient en moi quelque chose d'inconnu, loin de mon innocence