Ce qui attrape sa main n’est pas la faucheuse, mais les longs doigts fins d’Élianor. Son cœur rate un battement, son souffle s’arrête et il se fige, tous les muscles douloureusement contractés. Doucement, la lueur bleue revient et une autre main glisse délicatement sur sa joue râpeuse.
Oh mon Dieu...
Cette caresse, il a souhaité la sentir des milliers de fois depuis son enlèvement.
— C’est réel ? articule-t-il avec difficulté.