« Pardonne-toi. » C’était mon mantra quand j’étais plus jeune, pour me calmer les nerfs quand j’avais l’impression d’être, comment dire, une mauvaise personne. « Pour tout ce que tu hais chez toi — pardonne-toi. » Je crois que c’est de Jonas Gardell.
(Le Livre de Poche, p.401)