Citations de Linda Yellin (35)
L’auteur de romans policiers à succès Cameron Duncan nous explique que trouver l’amour reste le plus grand mystère de l’homme.
Aucune femme n’a envie d’entendre parler des goûts d’une ex en matière de matelas.
...si une personne ronfle à côté de toi et t’empêche de dormir, tu dois taper dans tes mains juste au-dessus de son visage. Le bruit la fera changer de position et arrêter de ronfler sans la réveiller.
Comment font-ils, ces écrivains, pour toujours trouver de nouveaux adjectifs et adverbes improbables afin de décrire la procédure éreintante qu’un couple de hamsters entreprend aussi bien que nous ? Si vous n’aviez jamais entendu parler de sexe et lisiez pareille scène dans un livre, vous penseriez : « Quoi ? Qui ? Où ça ? ! » Ma question est la suivante : pourquoi les scènes d’amour sont-elles nécessaires ? Pour aider le lecteur à s’imaginer le sexe ?
Il n’y a qu’une femme pour allumer des bougies dans sa chambre, ou autour de son bain. Les hommes s’en fichent.
« Les hommes qui déclarent facilement “Je t’aime” vous aiment sans doute peu, voire pas du tout. “Chérie” est un euphémisme pour “J’ai oublié ton prénom.”
Une alchimie pareille, ça ne s’invente pas. On l’a ou on ne l’a pas, un point c’est tout.
On ne naît pas cynique, on le devient.
Votre détective doit être particulièrement séduisant pour se trouver une nouvelle petite amie à chaque roman.
— Il croit en l’amour. Il cherche le grand amour. C’est un romantique.
Ce n’est pas un air normal que l’on y respire. La brise qui nous vient de l’océan n’a rien d’ordinaire. La légèreté, la fraîcheur de l’air font briller l’île d’un éclat magique.
Sa passion pour Nicolas Cage n’est donc pas si obsessionnelle qu’on pourrait le croire ; parfois, au lieu de contempler Nicolas à l’écran, il contemple son téléphone portable, et lorsqu’il fait cela, je l’observe. Son expression est d’une douceur innocente. Pas une trace d’agressivité. Pas une trace de controverse. Rien de particulier. Simplement un visage agréable à regarder.
Angela est une ancienne présentatrice de la météo venue tout droit de l’Indiana et reconvertie en spécialiste en médias sociaux indépendante. La beauté est dans ses gènes, ce qu’elle trouve agaçant pour une femme de trente-quatre ans. De petites fossettes saillantes, des taches de rousseur, un corps de joyeuse pom-pom girl. Sans maquillage, elle fait enfant de dix ans.
J’ai beau désirer depuis toujours incarner une femme mystérieuse et exotique, je reste une Américaine ordinaire au teint clair digne d’un mannequin pour un emballage de détergent. Assez jolie pour être désignée comme tel, mais pas assez pour se distinguer dans une foule. À moins, bien sûr, que je ne sois la seule personne nue. Là, on me remarque.
L’avantage de travailler pour une entreprise qui piétine, c’est qu’ils me laissaient faire à peu près tout ce que je voulais
Je rêvais de vivre une romance excitante et pleine de possibilités. Mais l’amour véritable, celui qui noue l’estomac de qui le partage, n’est réservé qu’aux autres, à ces personnages de fiction ou de conte de fées.