Oui, il pouvait avoir peur de moi. Pourtant, je devrais savoir l’aimer, ce bel apollon, car il faisait partie de toi. Il te rendait heureux, tu étais heureux grâce à lui, il y avait un peu de lui dans tes veines. Je devrais savoir l’aimer pour ce qu’il t’apportait, même si c’était beaucoup en demander.