Les besoins fondamentaux — le besoin de manger, les besoins sexuels, le besoin de puissance — ces besoins là il les comprenait. Mais le besoin d'une femme pour autre chose que le sexe lui était étranger.
Donner de l'argent est facile lorsqu'on en a tant. Donner de son cœur et de son temps est beaucoup plus difficile.
Ce sont ces maudits chroniqueurs sportifs. Peu importe combien de fois tu gagnes, ils sont sur ton dos quand tu perds. Et si tu te fâches quand quelque chose ne va pas, ils commencent à parler de comportement velléitaire dû à la drogue, à l'alcool, à l'amour déçu, que sais-je encore.
Je me dessèche comme une pomme dans un caveau. Personne ne semble se soucier de ce que j'aie aussi des besoins et des espoirs. Tu me traite comme quelque bijou précieux dans un écrin. De temps en temps tu me sors, tu m'admires, me fais voir à d'autres, puis me remets où j'étais.
Il y a toujours une enquête dans les cas de suicide, surtout si aucune note n'est laissée. D'autre part, si c'était un... meurtre, il leur faut trouver qui l'a commis. On ne peut pas simplement laisser un meurtrier en liberté.
Les drogues, croyait-elle, apportaient à sa vie un élément qui y manquait. Ce n'est que sous leur effet qu'elle éprouvait quelques sensations intenses. Sans drogues, la vie et les fêtes étaient tout simplement trop ennuyeuses.
« Dans les histoires et légendes grecques », « il n'y a pas de fins heureuses. »
J'ai l'impression de n'être rien de plus qu'un objet, comme quelque breloque qu'il verrait chez Cartier et qu'il doive posséder, qu'il achète, met dans un tiroir et ne ressort jamais, si ce n'est pour la regarder.
Un homme est un merveilleux amant avant le mariage, par la suite il place sa femme sur un piédestal. Il n'est un mari que lorsqu'il veut faire un enfant. Il va ailleurs pour satisfaire ses besoins sexuels.
Ce sont des nouvelles. Evidemment, certains éditeurs peu scrupuleux sont heureux d'imprimer n'importe quelle rumeur, n'importe quelle demi-vérité, n'importe quel cancan et appeler cela des nouvelles.