À Chaudun, dans le carré où ont été enterrées et mélangées avec la terre des générations d’hommes et de femmes, les ronces ont conquis l’espace, il ne reste plus qu’une pierre tombale, ultime trace de vie et de mort, avec ces mots gravés que l’on distingue encore en écartant les plantes sauvages : « Félicie Marin, morte le 30 avril 1877, à l’âge de 17 ans »