Tout ce que je trouvais, je le lisais. Bien sûr, ce n'était pas toujours de la prose faite pour les délicats.
Quand, je tombais sur quelque chose de bien, je l'apprenais par cœur et , la nuit, je le beuglais avec de grands gestes.
De la sorte, je devins comme un second auteur, plus bruyant, mais modeste.