Trop, trop de questions.
Moritz détestait les questions.
Parce qu'on ne peut pas fracturer le nez à une question. On ne peut pas lui tirer une balle dans le cœur (et une dans la tête, par sécurité), pour la faire taire pour toujours.
Les questions étaient comme ces insectes répugnants, bruyants et patients, faméliques et salauds, qui finissent par faire s'écrouler le plus solide des châteaux.