Tout au long du repas, j’ai observé William et une chose me paraît évidente : il n’est pas lui-même. J’ai conscience que cette réflexion est un peu naïve, voire idiote. Je ne le connais que depuis quarante-huit heures, je ne sais presque rien de sa vie et j’imagine qu’il m’a montré la version réelle et juste lui.