Maintenant que je suis trop malade pour écrire, je regrette de n'avoir pas persisté et de n'avoir pas écrit sur les croyances de l'Égypte, en dépit de votre crainte que les savants ne me missent en pièces, car j'ai l'intime conviction qu'avec moi mourra un savoir que peu d'autres possèdent. Rappelez-vous que les savants connaissent des livres ; moi, je connais les hommes, et, ce qui est plus difficile, les femmes.