Ils eurent bientôt laissé la dernière habitation d’El Idilio et pénétrèrent dans la forêt. Il y pleuvait moins, mais l’eau tombait en lourdes rigoles. La pluie était arrêtée par le toit végétal. Elle s’accumulait sur les feuilles et, quand les branches finissaient par céder sous son poids, l’eau se précipitait, chargée de toutes sortes de senteurs.