L’amour chez Miano est présent dans tous ses états : familial, amical, passionné, idolâtré, menaçant, protecteur… lien primordial qui apparait u centre des trois romans de notre corpus.
Cette humanité des caractères héroiques ets la seule chose qui intéresse Miano, indépendamment de leur sexe : « on a beaucoup parlé de la place des femmes dans mes romans. Or cela n’a jamais été mon objectif, d’écrire des histoires de femmes. Les êtres humains m’intéressent quelques soit leur sexe.»
Comme ses figures narratives partent à la conquête d’un espace urbain, l’auteure part à la conquête de l’espace étroit qu’est la feuille blanche, dans laquelle il faut réussir à faire entrer tout un univers narratif
L’histoire de mon peuple conditionne ce que je suis en tant qu’individu ; mon physique conditionne ma manière d’être par rapport à la société ; la manière dont je parais aux autres se fait par rapport à un certain regard que je porte sur mon ascendance.