Par la pensée, elle était avec ses chéries et, à leur retour, les écoutait avec bonheur raconter leurs découvertes. En leur absence, elle avait gardé les chats.
C’était une sorte de vie commune : les femmes y sont comme naturellement disposées, chacune apportant ce qu’elle avait de force et ce qu’elle avait acquis d’expérience.