Alors, j’essaie de faire sans. Ses bras, ses mains, son odeur, sa voix. Et son visage, et ses sou- rires, et la douceur de ses caresses dans nos cheveux. C’est pas facile de vivre. Ça fait pitié de le dire, mais j’ai pas honte. Je préférerais vivre sans ce truc dans le cœur.