AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Mahmoud Chokrollahi (11)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées
La danse des dormeurs

Une grosse soixantaine de poèmes (j'ai hésité à écrire "textes" plutôt que "poèmes") très très courts, dont je n'ai pas réussi à saisir le fil conducteur.



Pris unitairement, presque tous dégagent une forme clairement poétique, mais je n'ai pas réussi à trouver la cohérence de l'ensemble. Même la note finale de l'éditeur ne m'a pas semblé très éclairante...



Bref, une déception...



Merci à Babelio et aux éditions Le Soupirail de m'avoir fait découvrir le livre et son auteur.
Lien : http://michelgiraud.fr/2022/..
Commenter  J’apprécie          400
La danse des dormeurs

Mille merci à la dernière masse critique de m'avoir sélectionné pour cette poétique respiration.



J'ai découvert avec plaisir des poèmes courts mais intenses de Monsieur Mahmoud Chokrollahi.



78 pages imprimées sur un papier bouffant de quatre vingt grammes mis en page par Cécile Prévert, dans un petit village au coeur de la forêt des Andaines lors des siestes du papillon en l'automne deux mille vingt et un.



Dans un monde en décomposition, le poète recompose avec la rareté et la pureté du mot, avec l'épaisseur de l'évocation qui dissout les impossibilités du corps.



Une tension vers l'infini de soi.



Cette quête, c'est la part de vérité dont nous faisons partie : "Eblouie par la lumière / la route / se fond dans l'infini / et moi ".



Le regard dépasse le réel, capte l'invisible et l'indicible de l'émotion.



Ce qui importe est là, dans ces petits poèmes réduits à leur essentialité, dans la fuite et l'effeuillage de la vision pour faire surgir au-delà des mots et des images, le mystique.



Deux ou trois, ou quatre lignes ou le poète a su capter en éclats métaphysiques le cri muet des amours, la blancheur de l'enfance ....



L'heure retrouvée, celle de la pluie battante, de la lumière comme si tout pouvait renaître ...



"Comme un aveugle respire la nuit, le poète chine ses mots dans la contemplation de la nature à travers une forme brève ...



Univers d'écriture, entre réel et imaginaire, nous plongeant dans un monde insolite mais familier.



En lisant ces courts poèmes ai essayé d'imaginer la feuille emplit de fins dessins au crayon noir pour accompagner cet horizon sublime !



Rêverie intemporelle !



*Tout cela je me le suis approprié - et remercie aussi les Editions Soupirail qui ont eu la gentillesse d'accompagner ce merveilleux livre d'un petit fascicule avec leurs nouveautés)



Commenter  J’apprécie          332
Les immobiles

« Les yeux ouverts

je fixe le froid et

le passage du temps



je vis

encore »



Extrait du livre Les immobiles de Mahmoud Chokrollahi





Ce sont des poèmes. Aïe, de la poésie, qu’est-ce qui m’a pris ?

Ne seraient-ce pas là des haïkus d’ailleurs ? Je n’y connais vraiment rien dans le genre.





C’est bref.



« Je veille mes mots

pour ne pas faner les fleurs »





C’est déroutant.



« Sur un rosier en fleur

deux mouches enlacées



immobiles »





C’est beau et juste.



« Un papillon se pose

sur la lune qui se lave

à la surface de l’eau



rêve d’enfance »





J’ai lu ce livre lentement. Je me suis attardée sur certaines pages, décortiquant des idées, des couleurs, des thèmes : la nature, la vie.



Puis j’ai repris ce livre et l’ai relu, très vite, mue d’une intuition. Tel un folioscope, les pages ont laissé l’immobilité devenir mouvement, mouvement de la vie, inéluctable.



« Les morts rêvent encore dans les souvenirs des passants éphémères »





Merci à Babelio d’organiser masse critique et aux éditions Le Soupirail d’y participer.


Lien : https://chargedame.wordpress..
Commenter  J’apprécie          100
Les immobiles

Ce joli recueil pouvait être lu en quelques minutes, l’intérêt ici est justement de suspendre le temps et de le faire durer.

Juste quelques mots semés par pages, oui mais quels mots !

S'agit'il d'Haïkou avec ses critères il me semble : la simplicité, la métrique, la brièveté, l'image, la césure, La saison ?

Des petites lignes que l'on peut croquer, grignoter.

On prend le temps de les savourer, on ressent leur mélodie.

Le style est toujours très intime, l'évidence de la première lecture peut conduire vers d'autres interprétations.

Certaines pages ne m'ont pas embarqué assez loin, il m'a manqué un petit quelque chose en plus, d'autres m'ont fait voyager très loin et trottent encore quelque part.

Ma lecture très lente a déconnecté certains passages avec l'ensemble, car finalement il doit aussi se lire comme un tout, un jeu d'écho.

L'avantage de cette simplicité c'est l'universalité, sans dénaturer le sens, ces petites miettes de réflexions suspendues doivent être belles à écouter dans d'autres langues.

Merci Masse critique et la jolie maison d'édition "Le soupirail" pour cette découverte.

Commenter  J’apprécie          90
Le cri

Jeunes ados, ados, jeunes… nous nous retrouvions chaque été ensemble à l’Escala, petite ville (l’hiver), grande ville (l’été) au bord de la méditerranée, en Espagne, à moins d’une heure de la frontière française.



Nous passions l’été ensemble, enfin… deux ou trois semaines. Pendant lesquelles c’étaient un condensé de ce que nous aurions pu vivre en un an, le scolaire en moins… le pied !



Nous étions tout un groupe… une bande ! Les mêmes d’une année sur l’autre. Enfin, plus deux ou trois ou quatre en moins par rapport à l’année précédente, plus deux ou trois ou quatre qui venaient s’ajouter au groupe.



Et parmi eux, une année, Michel G. !



Michel était Belge.

Que je le dise peut paraître louche, limite intolérant.

Mais nous nous définissions par nos régions respectives, et plus ces régions étaient proches de l’Espagne, plus la précision s’imposait. Par exemple, on était de Perpignan, de Marseille, de Toulouse, de Bordeaux ou de Lyon. Mais on était de région parisienne, du nord, de l’est ou… de Belgique ou de Suisse.

Étonnamment, ou pas, même en y repensant bien, je ne me souviens pas avoir connu là-bas un seul « de Bretagne »…



Donc une année Michel s’incruste dans le groupe, sur je ne sais plus quel prétexte. Oh, il avait aussi quelques qualités, le Michel. Par exemple, Michel était « trop, trop beau ». Mouais…



Bon, première fois qu’il a fait l’histrion : Le deuxième jour, il se pointe avec une fille, Delphine, qu’il embrasse sur la bouche, enfin un tout petit… comment qu’on disait ça déjà ? Ah, oui, un smack. Et il nous explique un truc trop délire :



- Delphine, c’est ma sœur, mais nos parents sont pas au courant.

- Hein ? Tu te fous de nous !

- Non, non, moi je suis avec mon père, enfin, notre père et elle avec notre mère. On vit séparément depuis 10 ans sans se voir. Mais nous, Delphine et moi, on se téléphone souvent. On s’est arrangé pour que notre père et notre mère passent leurs vacances au même endroit pour se retrouver. Mais ils sont pas au courant. Alors on a raconté chacun de notre côté qu’il y avait notre petit(e) ami(e) qui passait ses vacances au même endroit, comme ça si ils nous voient ensemble de loin, ils penseront que c’est normal, vous comprenez ?



On était médusés !



Ouais, bien sûr, on comprenait surtout que ça sentait le pipeau à plein nez son affaire… Mais bon, dans le fond, on était pas très regardant sur ses choses-là et beaucoup d’entre nous avaient des vies étrangement super-palpitantes.



Donc Michel, il était « trop, trop beau », ce qui en fait à nos âges, se traduisait par « certes, il est pas moche, mais il a trop, trop de bagou, il parle trop, trop bien, il a trop, trop d’humour »… ce genre de trucs. Et ça, c’était plutôt vrai.



Qué bagou qu’il avait…

Toujours à ouvrir sa gueule, pour un oui, pour un non. En fait, c’était et oui, et non, et bien au contraire. Mais avec de l’à-propos, avec des arguments.

Bon, quitte à se fâcher très fort. C’était l’inconvénient… pour nous. Parce que lui, il nous tournait jamais les talons fâché. Non, non. Nous on se fâchait parfois.

Certains se barraient en tapant des pieds (bon, en même temps sur la plage, c’est nul comme effet, pas à faire, t’as l’air con …) ou s’arrêtaient avant d’aller dans un bar/en boite/sur la plage, en disant « si c’est comme ça, j’y vais pas ! ». Oui, mais là, on réfléchissait et on se disait « mais, merde ! La bande, c’est nous, l’incrust, c’est lui ! C’est à lui de se barrer. » Mais il aurait fallu lui dire « barre-toi » et le mec sans gêne, no limit, sans foi ni loi, c’était lui… et pas nous.



Il ouvrait toujours sa gueule, mais en plus il l’ouvrait fort…

Et en pleine nuit, au retour de boite de nuit, on aurait voulu lui dire « moins fort » parce que les gens dormaient et que nous on avait le souci de pas déranger. Parce qu’il y avait les flics qui circulaient pas mal la nuit et qu’on avait un peu les pétoches quand même.

Mais par expérience, après un essai ou deux, c’est nous qui fermions notre gueule. Bien sûr, lui demander de se taire, c’était une invitation pour lui qui était toujours dans la contradiction à hausser encore un peu plus le ton.



Et quitte à ouvrir sa gueule, c’était une fois sur deux pour dire des horreurs…

De vulgarité (au point qu’on avait honte sur la plage du regard des petites vieilles – quand t’es jeune, tu crois toujours que les petites vieilles ont des oreilles plus chastes que leurs cadettes, ce qui est absurde bien entendu) ou de provocations cyniques.

Alors là se situe un des gros inconvénients pour lui. Trois fois, en trois semaines c’est déjà beaucoup, ces horreurs de provocations cyniques lui ont valu de se prendre des coups et pas que dans que dans la tronche.



Je repensais à lui l’autre jour et soudain je me suis dit « Michel G., c’était un troll !! ».



Alors un troll : celui qui polémique sans cesse sur les forums ou qui se livre à des moqueries provocatrices de manière répétée (c’est ce que j’ai retenu, moi).



Mais pourquoi avoir besoin d’inventer un mot nouveau (ou plutôt d’utiliser un mot dans un nouveau sens) pour des gens qui ont toujours existé, juste parce que maintenant on parle d’internet. Bon il est vrai que maintenant, ces gens se font plus remarquer parce qu’avant ils vivaient plus dangereusement.

On prenait plus de risque, physiquement au moins, à se faire virer d’une bande de potes qu’à se faire virer d’un forum de discussion. Mais il me semblait qu’on ne manquait pas de mots pour ces gens-là : des emmerdeurs, des chieurs, voire dans les moments plus durs des connards, des salopards…



Mais Michel, pourquoi Michel G. d’ailleurs, je me souviens pas du tout son nom… non, c’était plutôt pour le surnom genre Michel Gugusse, Michel Goujat, Michel Gros relou, Michel Grande Gueule, Michel Gare à tes couilles, Michel Grrrrr…



Michel, dans le fond, avait raison de nous pousser à bout dans nos arguments pour tester notre bêtise et notre intelligence.

D’ailleurs, à votre avis, qu’est-ce qui pèse plus lourd à volume égal : une âme remplie de bêtise ou remplie d’intelligence ?







Ah, au sujet du livre, j’ai rien compris…



Pour vous donner une idée, je n’ai réalisé que vers la page 110 que si le narrateur s’appelait Joseph et qu’il avait fréquenté une Marie, ce n’était peut-être pas innocent… D’un coup, comme ça ! J’ai perçu cela comme une illumination ! Après 110 pages évoquant à de nombreuses reprises Joseph, et Marie, voire Joseph et Marie ensembles.



Donc, vous voyez c’est moi. J’étais pas qualifiée pour lire ce livre. Peut-être plus tard. En attendant il faudrait un autre avis. Pour l’histoire.



Le style, très bien. Fluide, riche, des métaphores pour les situations ou pour les relations entre les personnages. Parfois j’ai compris ces métaphores pour ce qu’elles signifiaient d’immédiat. Mais je n’ai pas saisi le sens global du livre.







Les mots, c’est beau aussi en chanson :



« […]

Il vivait avec des mots

Qu´on passait sous le manteau

Qui brillaient comme des couteaux.

Il jouait d´la dérision

Comme d´une arme de précision.

Il est sur le ciment, mais ses chansons maudites

On les connaît par cœur,

La musique a parfois des accords majeurs

Qui font rire les enfants mais pas les dictateurs.

De n´importe quel pays, de n´importe quelle couleur.

La musique est un cri qui vient de l´intérieur.

Ça dépend des latitudes

Ça dépend d´ton attitude

[…] »



(extrait de « la musique est un cri qui vient de l’intérieur » de Bernard Lavilliers : https://www.youtube.com/watch?v=e8cNd5mtHvE)



Commenter  J’apprécie          96
La danse des dormeurs

Une perle de rosée sur une brindille, subrepticement le mouvement du monde écarquille son macrocosme.

« La Danse des dormeurs » l'ère des petits riens, farandole des grandes importances. L'apothéose dans les signes, les images, les senteurs que l'on pressent être le toit du monde.

Mahmoud Chokrollahi, romancier et poète iranien, excelle la nature, le droit divin d'écrire l'enchantement du temps présent. Métaphores sucrées au miel, paraboles universelles, la voluptueuse rencontre avec les résurgences.

« Je regarde un éclair comme l'aveugle respire la nuit »

« Penser ici, sépare de l'ailleurs »

L'exil, le poème voûte octroie l'instantané de la lumière.

« Comment ne pas voir

dans la lumière du jour

le désir de la nuit »

Les étoiles de mer creusent le sable, empreintes pavloviennes, se souvenir de la terre-mère assignée à la souffrance. Les déchirures migratoires, ici, sont des paravents socle et immortalité.

« La Danse des dormeurs » ronde-chaîne.

« J'enlace le temps

au péril de ma vie »

Danser pour étreindre, pour ne pas mourir. Bien au-delà de l'écriture, les ombres pâles sont des firmaments.

« Dans le vent d'automne

les ombres chavirent

dans le regard ivre de l'abeille

La ruche s'éloigne »

« La Danse des dormeurs » l'intériorité souveraine et spéculative. Transmutation, l'annonce des forces intimes et secrètes. La transcendance boréale, un edelweiss à flanc de rocher.

« Dans le silence de la neige

sur les pierres tombales

des pas oubliés

la danse des dormeurs »

Ces fragments sont des flambeaux, des rais de lumière, des confidences souveraines. Un kaléidoscope grave par touches discrètes et riches d'humilité.

« La vérité est un songe inutile

dans l'ombre des murs irrités »

Le point d'appui pour se métamorphoser et prendre des forces pour un lendemain meilleur.

Publié par les majeures éditions le Soupirail.
Commenter  J’apprécie          50
Les immobiles

Si les poèmes présentées dans ce recueil n'ont pas le nom d'haïku, ils en ont toutefois la patte : brièveté, rapport à la nature, aux saisons et à l'émotionnel... Ils se lisent bien et forment un ensemble cohérent, peuvent discuter les uns avec les autres comme être picorés individuellement au fil de la page.

Je leur ai parfois trouvé manquer de ce petit élément de surprise dans la chute, cette discordance qui fait toute la force des images créés par les plus beaux haïkus, mais cette comparaison pour moi inévitable avec les maîtres japonais (je lisais à peu près au même moment une anthologie sur le sujet) n'est heureusement pas suffisante pour peser sur mon appréciation. Je recommande volontiers Les immobiles au amateurs de poésie comme aux autres !
Commenter  J’apprécie          40
Les oubliées

Merci à Babelio et aux éditions du soupirail pour cet envoi dans le cadre de la campagne masse critique !

A la manière des haïkus, dans un style extrêmement dépouillé, l'auteur nous livre des instantanés, reflets de sensations légères et profondes à la fois.

D'une première lecture, aisée et rapide, se dégage une atmosphère agréable propice au lâcher prise et à à vivre l'instant présent.

Je vais relire une page chaque soir avant de m'endormir et laisser voguer mon imagination sur ces mots pour en profiter plus intensément.

Un rituel apaisant dans ce monde si pressé
Commenter  J’apprécie          20
La danse des dormeurs

très beaux poèmes qui m'ont touchés et où j'ai su déceler l'invisible.



des mots forts et une poésie naturelle et une grâce dans les mots qui m'ont emportés.



Merci à l'auteur pour ces brefs moments de magie et de poésie douce et tendre que j'ai passés.

Commenter  J’apprécie          00
Les oubliées

Merci à Babelio et aux éditions Le Soupirail pour l'envoi de cet ouvrage dans le cadre de la massecritique.

On est plongé dans une succession de petits vers, à l'image des Haïku, qui nous incite à la poésie et au lâcher prise. Une certaine profondeur se dégage de ces lignes pour nous porter plus loin dans l'imagination.

Une lecture agréable est rapide, qui se laisse relire tout en douceur.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Commenter  J’apprécie          00
Les oubliées

Le titre, « les oubliées » renvoie aux « fleurs que je n'ai pas embrassées », moments vécus, vaguement datés par la tonalité d'une saison. « un jour d'hiver » ou « un matin de dimanche ».



Ce recueil a une belle unité, une succession de poèmes très courts, de 1 à 3 vers, disposés sur la moitié haute de la page blanche, le troisième vers souvent mis en relief, pour lui assurer une présence, à la manière d'un haïku. Poème graphique.



Tout est neige



Le corbeau

noir



C'est aussi un univers intérieur fait de nuits, d' hivers, de rêves, d' humeurs à peine effleurées, pour se prolonger, évocatrices, dans l'esprit du lecteur : mélancolie, tristesse, désir d'ailleurs.

Puis s'inverse le regard du poète qui guide vers des aspirations plus optimistes. Y figurent des « frémissements du printemps », des cerisiers, des hirondelles, des cerfs volants.



On voit que de multiples lectures sont possibles, en suivant le flux du texte, mais aussi, en gardant à l'esprit ces troisièmes vers : « ivresse de la terre » « insolence du vent ».



Rien n'est dit en termes décisifs, tout est suggestion, pour favoriser des échos de tout ce qui vit : une rivière, des fourmis, un souffle d'air. Au lecteur d'y trouver ses propres ombres, fugaces.



Le vent a gardé l'empreinte de ton visage



J'ai bien aimé ce recueil et j'ai plaisir à le suivre, comme à le parcourir, sensible à cette écriture discrète mais précise. Merci aux éditions du soupirail et à Babelio.

Commenter  J’apprécie          00


Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Mahmoud Chokrollahi (17)Voir plus

Quiz Voir plus

10 questions et "1 kilo de culture générale" à gagner !

Quel est le nom du premier chef qui a réussi à fédérer le peuple gaulois ?

Orgétorix
Astérix
Vercingétorix
Celtill

10 questions
4004 lecteurs ont répondu
Thèmes : culture généraleCréer un quiz sur cet auteur

{* *}