La chambre bascule et, pour la première fois depuis cette nuit-là, je distingue les traits de ma bien-aimée.
Elle est si belle.
Sa peau de marbre.
L'éclat de ses yeux.
La flamme au fond de ses pupilles vides.
Ses joues creusées.
Sa peau livide.
Ses cheveux qui s'effilochent et découvrent les os de son crâne.
Un hurlement nait dans ma poitrine,
Louise,
Veux tu me laisser vivre ?
Je t'en supplie.