Critiques de Marc-Alain Descamps (5)
"Le corps a-t-il quelque chose à dire? Si oui, que dit-il?"
Voilà, en gros les deux axes principaux autour desquels tourne ce manuel de psychologie (plutôt pour des professionnels) Le langage du corps et la communication corporelle écrit par Marc-Alain Descamps maître de conférences à l'UER de Psychologie de l'Université René-Descartes (Paris V).
Qu'il soit "corps-symptôme";qu'il pleure, rie,transpire,tremble..; effectue des gestes;prenne des postures ou des mimiques (pour le visage)...il est "l'expression de l'inconscient" et s'exprime.
Son observation est soumise aux à priori, préjugés et convictions, qui font que l'on peut parfois partir dans de fausses interprétations (ex:les gros sont mous). La communication non verbale est influencée par la culture,l'éducation,les contacts sociaux,le vécu antérieur,l'estime de soi, la religion...
Statistiques et pourcentages à la clef; avec dessins d'illustration en prime, l'auteur s'aide de méthodologie (ex: PNL ou morphopsychologie) pour aider à décrypter le langage des gestes ou le caractère de son interlocuteur. Bref, ce livre très complet est un outil professionnel appréciable!
Voilà, en gros les deux axes principaux autour desquels tourne ce manuel de psychologie (plutôt pour des professionnels) Le langage du corps et la communication corporelle écrit par Marc-Alain Descamps maître de conférences à l'UER de Psychologie de l'Université René-Descartes (Paris V).
Qu'il soit "corps-symptôme";qu'il pleure, rie,transpire,tremble..; effectue des gestes;prenne des postures ou des mimiques (pour le visage)...il est "l'expression de l'inconscient" et s'exprime.
Son observation est soumise aux à priori, préjugés et convictions, qui font que l'on peut parfois partir dans de fausses interprétations (ex:les gros sont mous). La communication non verbale est influencée par la culture,l'éducation,les contacts sociaux,le vécu antérieur,l'estime de soi, la religion...
Statistiques et pourcentages à la clef; avec dessins d'illustration en prime, l'auteur s'aide de méthodologie (ex: PNL ou morphopsychologie) pour aider à décrypter le langage des gestes ou le caractère de son interlocuteur. Bref, ce livre très complet est un outil professionnel appréciable!
Je voulais un livre qui ne parlais pas juste des bienfaits de la kundalini puis ne mélangeait pas le sujet avec le yoga et qui savaient vraiment de quoi il parlait! Ça été pas mal le seul livre que j'ai trouvé qui étais dans mes critères! 😅
Déjà je conseil ce livre à ceux qui on eu une monté ou des montées de kundalini ou a ceux qui s'intéresse vraiment à ce sujet.
En gros, La kundalini est une énergie purificatrice qui monte dans les 7 chakras principaux pour venir les purifier. On ressent l'énergie circuler à l'intérieur de notre colonne vertébrale jusqu'à la tête. La sensation est souvent décrite comme des frissons hors du commun, un serpent qui monte dans notre corps ou bien une belle énergie chaude. Il peu amener à l'extase et à des changements majeur dans notre quotidien autant en bien qu'en mal.
Le bouquin est très documenté et a beaucoup d'informations précieuses que l'on ne peu trouver facilement ailleurs. À mon avis, c'est une pépite!
Il m'a grandement aidé comme je le souhaitais à la base. Il traite du sujet en long et en large.
l'auteur nous raconte un peu son histoire personnel et nous montre des témoignages de personnes qui ont eu des montées de kundalini. c'est fascinant de voir que chaque éveil est très différent et en même temps pareil. J'ai aimé qu'il nous montre le coté noir de cet éveil parce que dans les autres livres ils abordent rarement ce sujet et pourtant est cruciale à mon avis car tout n'est pas blanc et merveilleux. L'auteur nous parle aussi de quelques autres sujets comme le tantrisme et le yoga.
Auteur: Marc-Alain Descamps est née en 1930 en France et est mort en malheureusement en 2018. Il était professeur, philosophe, psychologue, enseignant de yoga et écrivain. Il a fait d'ailleurs plus de 50 livres. Il a voyager dans tout l'orient dont plusieurs voyage en indes. Il se passionnais sur les différentes cultures du monde et sur la spiritualité.
Déjà je conseil ce livre à ceux qui on eu une monté ou des montées de kundalini ou a ceux qui s'intéresse vraiment à ce sujet.
En gros, La kundalini est une énergie purificatrice qui monte dans les 7 chakras principaux pour venir les purifier. On ressent l'énergie circuler à l'intérieur de notre colonne vertébrale jusqu'à la tête. La sensation est souvent décrite comme des frissons hors du commun, un serpent qui monte dans notre corps ou bien une belle énergie chaude. Il peu amener à l'extase et à des changements majeur dans notre quotidien autant en bien qu'en mal.
Le bouquin est très documenté et a beaucoup d'informations précieuses que l'on ne peu trouver facilement ailleurs. À mon avis, c'est une pépite!
Il m'a grandement aidé comme je le souhaitais à la base. Il traite du sujet en long et en large.
l'auteur nous raconte un peu son histoire personnel et nous montre des témoignages de personnes qui ont eu des montées de kundalini. c'est fascinant de voir que chaque éveil est très différent et en même temps pareil. J'ai aimé qu'il nous montre le coté noir de cet éveil parce que dans les autres livres ils abordent rarement ce sujet et pourtant est cruciale à mon avis car tout n'est pas blanc et merveilleux. L'auteur nous parle aussi de quelques autres sujets comme le tantrisme et le yoga.
Auteur: Marc-Alain Descamps est née en 1930 en France et est mort en malheureusement en 2018. Il était professeur, philosophe, psychologue, enseignant de yoga et écrivain. Il a fait d'ailleurs plus de 50 livres. Il a voyager dans tout l'orient dont plusieurs voyage en indes. Il se passionnais sur les différentes cultures du monde et sur la spiritualité.
Cette étude universitaire, presque un traité, peut-être issue de ce qu'était naguère la fameuse thèse d'État, date de 1972 : elle constitue le premier travail scientifique sur le naturisme en France, elle porte les marques de son époque stupéfaite par « l'explosion de la mode du nu », et demeure malgré tout une référence incontournable et fort instructive sur le sujet. Dans son approche déjà assez interdisciplinaire (historique, linguistique, philosophique, psychologique, sociologique – mêlant le quantitatif au qualitatif), l'on peut aisément déceler deux grands thèmes : l'analyse critique du vêtement et celle du mouvement naturiste. Cette dernière ressent de la posture du chercheur qui, pratiquant le naturisme, ne peut s'empêcher un enthousiasme qui s'apparente parfois au prosélytisme : si cela assure une meilleure véridicité que celle des arguments de ses détracteurs, qui ne le pratiquent jamais, c'est au détriment de l'intérêt relatif de ce thème par rapport à l'ensemble ; en somme on aurait apprécié une plus stricte fidélité à l'énoncé du titre : Le nu et le vêtement ; et cela pèse dans un ouvrage touffu de 400 p. bien serrées...
Ce qui gratifie le plus le lecteur, c'est donc la latitude de son analyse philosophique et psycho-sociologique, la mise en perspective avec l'Antiquité et quelques fragments bibliques, le rappel de l'histoire de l'Église et notamment des hérésies, qui commencent à révéler à mes yeux une surprenante continuité à travers les siècles. En outre, on s'amusera à constater que, de même que l'ouvrage principal de Marx a pour sujet (la critique du) capitalisme, cet ouvrage, toute proportion gardée, porte surtout sur (la critique du) vêtement... La conclusion comporte une ouverture psychanalytique (à la fois jungienne et lacanienne) sur l'auto-représentation de l'humanité et de sa place dans l'univers en fonction de sa condition vêtue (ou dévêtue) : outre qu'elle surprend et alimente la pensée, elle anticipe sur les intérêts de recherche postérieurs d'un auteur étonnant.
Extrait de la table des matières :
Chapitre Ier : « Définition et analyse du vocabulaire » [nominale, sémantique et opérationnelle du vêtement et du nu]
Ch II et III : « Les défenseurs du vêtement » [respectivement les religieux : chez les Grecs, Romains, Juifs, Chrétiens – et les philosophes : de Lucrèce à Hegel, Compte, Alain]
Ch IV : « Les avantages du vêtement » [fonctions et avantages : matériels, psychologiques, sociaux]
Ch V : « Le nudisme religieux ou les premiers échecs » [la Gnose, le Moyen-Âge, à partir de la Renaissance]
Ch VI : « La défense du nu chez les penseurs et les philosophes » [dans l'Antiquité, Rousseau, modernes]
Ch VII : « Le mouvement naturiste : histoire » [en particulier en Allemagne, France, États-Unis]
Ch VIII : « Le mouvement naturiste : composition »
Ch IX : « Le mouvement naturiste : activités »
Ch X : « Le mouvement naturiste : étude comparative »
Ch XI : « La critique du vêtement » [traditionnelle et nudiste sur les plans : matériel, psychologique et social]
Ch XII : « La valeur de la gymnité » [matérielle, psychologique, sociale]
Ch XIII : « L'impact du naturisme sur la société contemporaine »
Ch XIV : « L'image du mouvement naturiste en France » [selon les secteurs, selon les problèmes]
Synthèse sur les tendances du mouvement naturiste :
Courant allemand : fondamentalement hygiéniste, culture physique et sportive intensive, restrictions alimentaires... Courant français : production d'un nu chaste et familial, vacancier (plages et campings bon marché), habité par des principes d'égalitarisme. Courant américain : s'intéresse beaucoup à la sexualité et à la psychothérapie par le nudisme. (p. 211)
Cit :
« Les vêtements ont fait de nous des hommes ; ils risquent de faire de nous des porte-manteaux. » Carlyle – cit. en exergue.
« Sans trop s'en rendre compte, la pensée rationnelle d'une région et d'une époque n'est très souvent que la simple élucidation ou justification de ses mythes primitifs. » (p. 61)
La mode (vestimentaire) possède « une fonction relevant de la destruction rituelle des biens. Elle s'est ainsi apparenté pendant certaines périodes au 'potlach'. [… Elle] se greffe sur le plaisir de porter des habits neufs et nouveaux. » (p. 215)
« Ainsi, la critique nudiste du vêtement semble radicale : elle s'en prend à ses défauts matériels et a fait sombrer la théorie utilitariste de la protection. Elle a montré la relativité, les aberrations et la contradiction de la pudeur qui se retourne toujours en érotisme. Elle fait paraître les méfaits sociaux du vêtement comme technique de séparation, outil de discrimination, et instrument d'oppression. Symbole du social, de l'aveu même de ses protagonistes, le vêtement se trouve par là même le grand accusé. Sa tartufferie et les superstitions dont il est l'objet font de lui le symbole de tout ce qui ne va pas dans l'homme et dans la société. » (p. 242)
Ce qui gratifie le plus le lecteur, c'est donc la latitude de son analyse philosophique et psycho-sociologique, la mise en perspective avec l'Antiquité et quelques fragments bibliques, le rappel de l'histoire de l'Église et notamment des hérésies, qui commencent à révéler à mes yeux une surprenante continuité à travers les siècles. En outre, on s'amusera à constater que, de même que l'ouvrage principal de Marx a pour sujet (la critique du) capitalisme, cet ouvrage, toute proportion gardée, porte surtout sur (la critique du) vêtement... La conclusion comporte une ouverture psychanalytique (à la fois jungienne et lacanienne) sur l'auto-représentation de l'humanité et de sa place dans l'univers en fonction de sa condition vêtue (ou dévêtue) : outre qu'elle surprend et alimente la pensée, elle anticipe sur les intérêts de recherche postérieurs d'un auteur étonnant.
Extrait de la table des matières :
Chapitre Ier : « Définition et analyse du vocabulaire » [nominale, sémantique et opérationnelle du vêtement et du nu]
Ch II et III : « Les défenseurs du vêtement » [respectivement les religieux : chez les Grecs, Romains, Juifs, Chrétiens – et les philosophes : de Lucrèce à Hegel, Compte, Alain]
Ch IV : « Les avantages du vêtement » [fonctions et avantages : matériels, psychologiques, sociaux]
Ch V : « Le nudisme religieux ou les premiers échecs » [la Gnose, le Moyen-Âge, à partir de la Renaissance]
Ch VI : « La défense du nu chez les penseurs et les philosophes » [dans l'Antiquité, Rousseau, modernes]
Ch VII : « Le mouvement naturiste : histoire » [en particulier en Allemagne, France, États-Unis]
Ch VIII : « Le mouvement naturiste : composition »
Ch IX : « Le mouvement naturiste : activités »
Ch X : « Le mouvement naturiste : étude comparative »
Ch XI : « La critique du vêtement » [traditionnelle et nudiste sur les plans : matériel, psychologique et social]
Ch XII : « La valeur de la gymnité » [matérielle, psychologique, sociale]
Ch XIII : « L'impact du naturisme sur la société contemporaine »
Ch XIV : « L'image du mouvement naturiste en France » [selon les secteurs, selon les problèmes]
Synthèse sur les tendances du mouvement naturiste :
Courant allemand : fondamentalement hygiéniste, culture physique et sportive intensive, restrictions alimentaires... Courant français : production d'un nu chaste et familial, vacancier (plages et campings bon marché), habité par des principes d'égalitarisme. Courant américain : s'intéresse beaucoup à la sexualité et à la psychothérapie par le nudisme. (p. 211)
Cit :
« Les vêtements ont fait de nous des hommes ; ils risquent de faire de nous des porte-manteaux. » Carlyle – cit. en exergue.
« Sans trop s'en rendre compte, la pensée rationnelle d'une région et d'une époque n'est très souvent que la simple élucidation ou justification de ses mythes primitifs. » (p. 61)
La mode (vestimentaire) possède « une fonction relevant de la destruction rituelle des biens. Elle s'est ainsi apparenté pendant certaines périodes au 'potlach'. [… Elle] se greffe sur le plaisir de porter des habits neufs et nouveaux. » (p. 215)
« Ainsi, la critique nudiste du vêtement semble radicale : elle s'en prend à ses défauts matériels et a fait sombrer la théorie utilitariste de la protection. Elle a montré la relativité, les aberrations et la contradiction de la pudeur qui se retourne toujours en érotisme. Elle fait paraître les méfaits sociaux du vêtement comme technique de séparation, outil de discrimination, et instrument d'oppression. Symbole du social, de l'aveu même de ses protagonistes, le vêtement se trouve par là même le grand accusé. Sa tartufferie et les superstitions dont il est l'objet font de lui le symbole de tout ce qui ne va pas dans l'homme et dans la société. » (p. 242)
Une vision personnelle de la méditation
Né en 1930, « Marc-Alain Descamps est psychanalyste, professeur de psychologie et Président de l’Association Française du transpersonnel. Il est didacticien en Rêve-éveillé. Il a étudié les différentes techniques de rêves dans ses voyages du Mexique à Bornéo et en Malaisie. Par ailleurs, après avoir voyagé dans tout l’Orient, il enseigne le yoga et se passionne pour la recherche spirituelle dans la rencontre Orient-Occident. » (www.inrees.com).
On peut rajouter qu’il a écrit pléthore de livres sur le corps, la psychologie transpersonnelle, le yoga, des biographies, le sexe, le rêve et des « histoires ».
Publié en 2014, réédité en 2017 par Jean-Louis Accarias – j’adore cette maison d’édition qui publie de très bons livres en matière spirituelle – M-A. Descamps écrit ici un manuel de méditation, sobrement et prétentieusement intitulé : « La méditation : apprendre à méditer vraiment ».
Nous trouvons dans ce livre une enquête sur la méditation, où l’auteur donne sa vision personnelle de la méditation et propose 15 « méditations » de son cru, mêlant ses spécialités : yoga et psychologie transpersonnelle.
Je dois dire que la première partie : « apprendre à méditer » est vraiment excitante, stimulante pour l’esprit.
C’est vraiment ce que j’attendais de lire depuis des lustres, moi qui cherchait en vain le livre ultime sur la méditation (je crois que c’est ce qu’a voulu l’auteur en écrivant ce livre qu’il n’a pas du trouver, comme moi).
Je veux dire par là que je ne suis pas convaincu qu’une tradition particulière détienne la vérité sur la méditation. Chacun la sienne je dirais.
Mais en France, je crois que l’on se trompe sur la méditation. Il est donc devenu nécessaire aujourd’hui de comprendre vraiment ce qu’est la méditation – il faut donc la remettre en question et remettre son ouvrage sur le métier – il faut donc enquêter.
Cette première partie est la partie technique de l’ouvrage, et en même temps théorique, tandis que la seconde est celle de la pratique selon Marc-Alain Descamps. Et pourquoi pas ? Pourquoi ne pas s’approprier la méditation (comme le firent aussi Arnaud Desjardins, Jacques Castermane, K.G. Dürckheim, etc) car elle est universelle et impersonnelle ?
L’auteur nous dit avoir étudier la méditation : selon le Yoga, le Zen français, la méditation transcendantale (mais entre les lignes on comprend qu’il en a une piètre opinion, et on peut le comprendre !), le bouddhisme tibétain, le « vipassana », la « mindfulness », la « vision sans tête » de Douglas E. Harding, l’advaïta vedanta et Ramana Maharshi.
Dans cette première partie donc, Marc-Alain Descamps va à l’essentiel, et je dois dire que ses déductions suite à l’étude des différentes méditations qu’il a expérimenté – car on peut lui reconnaître également ceci : il a réellement expérimenté tout ce dont il parle; c’est donc normal qu’à son âge il ait des convictions à ce sujet – sont sacrément pertinentes.
Cette première partie vaut vraiment le coup, vaut vraiment la lecture de ce livre. Les questions posées et les réponses aussitôt apportées par M-A. Descamps forment la valeur incontestablement « ajoutée » de l’ouvrage.
Je vous conseille donc de vous le procurer.
Pour la partie pratique, il faudra encore approuver la « méthode Descamps » et ensuite l’expérimenter.
Je le répète : voici un excellent livre sur la méditation que je vous invite à découvrir sur le champs…
Bonne lecture !
Zui Ho.
Lien : https://livresbouddhistes.wo..
Né en 1930, « Marc-Alain Descamps est psychanalyste, professeur de psychologie et Président de l’Association Française du transpersonnel. Il est didacticien en Rêve-éveillé. Il a étudié les différentes techniques de rêves dans ses voyages du Mexique à Bornéo et en Malaisie. Par ailleurs, après avoir voyagé dans tout l’Orient, il enseigne le yoga et se passionne pour la recherche spirituelle dans la rencontre Orient-Occident. » (www.inrees.com).
On peut rajouter qu’il a écrit pléthore de livres sur le corps, la psychologie transpersonnelle, le yoga, des biographies, le sexe, le rêve et des « histoires ».
Publié en 2014, réédité en 2017 par Jean-Louis Accarias – j’adore cette maison d’édition qui publie de très bons livres en matière spirituelle – M-A. Descamps écrit ici un manuel de méditation, sobrement et prétentieusement intitulé : « La méditation : apprendre à méditer vraiment ».
Nous trouvons dans ce livre une enquête sur la méditation, où l’auteur donne sa vision personnelle de la méditation et propose 15 « méditations » de son cru, mêlant ses spécialités : yoga et psychologie transpersonnelle.
Je dois dire que la première partie : « apprendre à méditer » est vraiment excitante, stimulante pour l’esprit.
C’est vraiment ce que j’attendais de lire depuis des lustres, moi qui cherchait en vain le livre ultime sur la méditation (je crois que c’est ce qu’a voulu l’auteur en écrivant ce livre qu’il n’a pas du trouver, comme moi).
Je veux dire par là que je ne suis pas convaincu qu’une tradition particulière détienne la vérité sur la méditation. Chacun la sienne je dirais.
Mais en France, je crois que l’on se trompe sur la méditation. Il est donc devenu nécessaire aujourd’hui de comprendre vraiment ce qu’est la méditation – il faut donc la remettre en question et remettre son ouvrage sur le métier – il faut donc enquêter.
Cette première partie est la partie technique de l’ouvrage, et en même temps théorique, tandis que la seconde est celle de la pratique selon Marc-Alain Descamps. Et pourquoi pas ? Pourquoi ne pas s’approprier la méditation (comme le firent aussi Arnaud Desjardins, Jacques Castermane, K.G. Dürckheim, etc) car elle est universelle et impersonnelle ?
L’auteur nous dit avoir étudier la méditation : selon le Yoga, le Zen français, la méditation transcendantale (mais entre les lignes on comprend qu’il en a une piètre opinion, et on peut le comprendre !), le bouddhisme tibétain, le « vipassana », la « mindfulness », la « vision sans tête » de Douglas E. Harding, l’advaïta vedanta et Ramana Maharshi.
Dans cette première partie donc, Marc-Alain Descamps va à l’essentiel, et je dois dire que ses déductions suite à l’étude des différentes méditations qu’il a expérimenté – car on peut lui reconnaître également ceci : il a réellement expérimenté tout ce dont il parle; c’est donc normal qu’à son âge il ait des convictions à ce sujet – sont sacrément pertinentes.
Cette première partie vaut vraiment le coup, vaut vraiment la lecture de ce livre. Les questions posées et les réponses aussitôt apportées par M-A. Descamps forment la valeur incontestablement « ajoutée » de l’ouvrage.
Je vous conseille donc de vous le procurer.
Pour la partie pratique, il faudra encore approuver la « méthode Descamps » et ensuite l’expérimenter.
Je le répète : voici un excellent livre sur la méditation que je vous invite à découvrir sur le champs…
Bonne lecture !
Zui Ho.
Lien : https://livresbouddhistes.wo..
Un des meilleur livre sur la maitrise des rêves que j'ai jamais lu; Je le conseille fortement. Tout le monde a vu le film "invention", eh bien oui, il est possible d'apprendre à progresser dans le souvenir et la maitrise de moments de ses rêves. Adieu les cauchemars et des milliards de possibilités puisque dans le rêve tout est possible. Vous ne vous coucherez plus d cela même façon.
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