Il lui lance un regard noir, attrape son verre vide et le jette contre le mur. Il se lève, agrippe la chaise sur laquelle il était assis et la fracasse sur le sol. Puis il sort sans un mot. Une fois dehors, il se met à marcher sans but précis dans les rues de Madrid. Il marche. Il marche toute la nuit. Et il pleure. Franco est mort, pas le mal qu'il a enfanté.
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