(...) parce que raconter nous raccorde aux autres. Eux à moi et moi à eux. Et parce que ça libère de dire. Ne pas garder ses bombes. Ne pas garder ses bombes. Ne pas garder ses bombes. Et pourtant c'est le tic-tac de l'explosion qui oblige à être ce que l'on est vraiment. Je coupe le fil bleu ou le fil rouge ?