Mais au temps où il y brillait, de quelle douce gaieté remplissait -il tous les convives par l’imprévu de ses interruptions, et les trouvailles de ses réflexions ! Il fallait l’entendre soutenir que Flaubert avait pour lui tant d’estime, qu’il lui avait fait un jour la lecture de Bouvard et Pécuchet .
La princesse, agacée de tant d’invraisemblance, proteste un peu vivement. Le confident de Gustave Flaubert insiste, redouble d’assurance.
«Vous confondez !
— Non, je suis sûr ; et voyant qu’on a l’air de sourire, il fait cette concession : Ah ! c’est vrai, princesse, je me trompe un peu. Je confondais. Il m’a lu Bouvard, cela, j’en suis sûr. Mais vous avez raison, il ne m’a pas lu Pécuchet .»