Quand je suis venue vivre en France, j'ai perdu la viande argentine, mais j'ai gagné en diversité d'animaux à dévorer. Et pas seulement en diversité. J'ai été émerveillée par la manière de les préparer. (...) Cela ne signifie pas que j'ai accepté l'ensemble des nouveaux animaux que cette cuisine me proposait. Certains me faisaient hésiter, comme le lapin, mais jamais lorsqu'il m'était présenté sous la forme d'une terrine. (p. 19)