Sa démarche même était différente de celle des femmes de la ville basse. Elle avançait, plus vive, plus légère. Avec un balancement des hanches qui faisait songer aux danses, aux fêtes, aux banquets, à la musique et aux chants amoureux du crépuscule. En un mot, à la beauté, tout simplement, et au ravissement que pouvait représenter, pour d’autres, le monde.