- La terre est la seule chose qui compte ! clama-t-il (Gérald O’Hara) en faisant des gestes indignés de ses bras courts et épais. C’est la seule chose au monde qui dure. Tâche de ne pas l’oublier ! C’est la seule chose qui vaille la peine qu’on travaille pour elle, qu’on se batte... ou qu’on meure ! (p. 59)