Et les livres restent. Et en plus, quand on lit un livre, il y a une imagination qui fait qu’on peut vraiment être avec quelqu’un ; que la personne revit, que son imagination revit — même si ce n’est pas la personne elle-même. Tu dis que, quand quelqu’un te parle d’un livre, tu es la dernière personne à pouvoir en parler parce que tu n’es plus la même personne...