Laure est passée d’une robe corail à déjà nue, les bras dorés, c’est tôt dans la saison pour des marques de maillot sur les hanches, elle est censée travailler en journée. Elle aura une terrasse dans sa baraque de banlieue, un endroit où s’étaler. Je me concentre sur des conneries vu qu’elle est très belle et surtout trop près, déjà très au-delà des gestes barrières. C’est difficile la peau nue d’un coup, sans un écran devant, j’avais oublié. Elle a un petit chat dans les yeux, et sur le front, et dans les mains, elle me terrorise alors je me désape et je dis voilà, qu’elle ne s’attende pas à plus. Pas plus qu’un corps noueux, blanc tirant sur le vert, monté correctement je suppose. Je n’ai jamais su me situer sur l’échelle des queues.