Marianne Boilève est journaliste de formation. Elle collabore depuis une dizaine d'année à de nombreux journaux. C’est la rencontre avec un illustrateur qui a donné envie à Marianne Boilève de mettre sa plume et son humour au service de la littérature jeunesse. Après quelques parutions « loufoques » (Tante Mèmène, La Machine à rien, Lulu la croqueuse de merlus…), elle se lance dans le documentaire « sérieux », combinant ainsi son goût de l’écriture et des mots. Elle a publié des livres pour enfants chez Hachette Jeunesse (Tante Mèmène, La Machine à rien), Thierry Magnier (Lulu la croqueuse de merlus) et au Seuil Jeunesse (Poulpe à tout faire).
Comme les taupes ne voient pas plus loin que le bout de leur nez, elles ont du mal à jouer au bilboquet, à la pétanque, à faire des mots croisés ou farcir des choux à la crème sans lunettes.
On a donc pris l'habitude de dire qu'elles sont myopes... comme des taupes !
Cette histoire fit le tour de la planète des singes.
Malin, le jeune héros raconta son aventure et distilla ses conseils dans un livre qui fut traduit dans toutes les langues (en macaque, en chimpanzé, en orang-outang...) et vendu (en monnaie de singe) à des millions d'exemplaires.
Les tempêtes surviennent surtout en automne et au début de l’hiver, lorsque l’océan est encore chaud et que l’air polaire est déjà bien froid. En hiver, elles peuvent se succéder au rythme d’une par jour et parcourir des milliers de kilomètres sur l’océan. Leur puissance dépend de la différence de température entre l’air et l’eau : plus cette différence est grande, plus la tempête est forte.