"Quand elle dort, elle n'est plus si superficielle, si futile. Les griffes de la vie qui marquent et modèlent, cette poigne écrasante qui aplatit et lamine ; le poids des choses, la vie même n'ont plus aucune prise sur elle quand elle dort. Voilà. Le sommeil éloigné tout. Tout et tout le monde." (page 59)