elle m’a confié qu’elle n’avait pas toujours été comme ça, que plus jeune elle était comme ma mère, calme, réservée, posée. Puis, quand mon grand-père est décédé, elle avait décidé qu’elle en avait assez de marcher constamment sur des œufs pour ne vexer personne. Elle avait compris que, de toute façon, il y avait toujours quelqu’un de vexé.