- J’avais raison, se vanta-t-elle, victorieuse. Je crois que vous seriez prêt à mourir pour moi !
Je me penchais au dessus d’elle. Mon souffle accéléré soulevait ses mèches blondes.
- Je suis mort pour vous, déclarai-je. J’ai tué celui que j’étais autrefois pour vous.