À l'école communale, en France, j'avais appris que le français, qui était ma langue, était la plus belle langue du monde, que les Français étaient le peuple le plus courageux, qu'ils avaient toujours vaincu leurs ennemis [...]. Arrivé à Bucarest, on m'apprend que ma c'est le roumain, que la plus belle langue du monde ce n'est pas le français mais le roumain, que les Roumains avaient toujours vaincu leurs ennemis [...]. Heureusement qu'un an plus tard je ne me suis pas rendu au Japon.