Moi, je dirais qu'il s'agit d'une violence mafieuse, car cette violence-là est le résultat d'une connexion entre plusieurs genres, des flics ripoux, des indicateurs de police, des cols blancs et des tueurs à leurs bottes... Le tout résulte d'une impunité et d'un pouvoir qui leur permettent d'avoir une mainmise sur l'économie.
L'exil est toxique. Il empoisonne. Comment composer avec cette part de soi restée au pays et cette nostalgie qui, parfois, vous assaille à l'odeur d'un simple parfum ou à la vision fugace d'un souvenir ?