Léa a un deuxième père qui a des "tendances", comme on dit, et je voudrais qu'elle voie que ça n'est pas une maladie, que ça n'est pas une horreur, mais que ça demeure un problème parce que les gens jugent ce goût particulier comme une maladie. Je pense que ça prend du courage quand on est différent de la masse des gens.