Solitude bien-aimée, tu ouvres les portes, tu tires les verrous, tu changes la lumière de la lune en lumière solaire. Tu rends pauvre, car les richesses éparpillent l'attention. Tu fais sauter les gonds du coffret des trésors. Tu unifies en jetant des passerelles entre le ciel entre la terre.
Solitude, tu déchires les voiles, et le regard contemple par instants l'invisible.
Solitudes et paradoxes