p. 9 "Même quand on a plus sa tête on souffre de solitude, c'est évident. Quelqu'un, qu'on le reconnaisse ou pas, c'est tout de même une présence humaine, une chaleur, une affection humaine. Même au fin fond de tout on est capable de sentir ça. Ceux qui n'ont pas de visites déclinent plus vite que les autres, c'est sûr."