Montrer ces objets, raconter les histoires qui leur sont attachées, c'est autant parler de celles qui sont rentrées que préserver la mémoire de leurs compagnes assassinées par les nazis. C'est montrer des traces de cette force de vie qui a pris le dessus sur la barbarie. [p.15]
Ces carnets, vêtements, broderies, ceintures, chaussures, chapelets, bijoux, jouets, lettres, dessins étaient au camp ce qu'elles avaient de plus précieux. Pour nombre d'entre elles, c'est toujours le cas aujourd'hui. [p.15]