J'irai par la forêt, j'irai par la montagne...
(...) elle aime l'usage de la première personne le je, ça parle à tout le monde, c'est chacun. Ce qui lui plaît aussi, c'est l'emploi du futur. Le futur, ça fait espérer. On peut toujours rêver qu'un jour on ira par la forêt... J'irai par la forêt... J'irai par la forêt j'irai par la montagne, pense-t-elle, ça rend heureux. C'est peut-être ça, la poésie ?