Le soir, des bruits sortent de l'obscur et te parlent : un grincement, un craquement, un glissement sourd... (...) À gauche, il y a un grand coffre recouvert d'un tissu bariolé. C'est le passage dangereux. Chaque fois, tu crois que l'étoffe a bouge, que le couvercle du coffre va s'entrouvrir et que la main va paraître, te happer avant que tu n'aies pu atteindre les marches... Cette main que tu n'as jamais vue, dans ton ne t'a jamais parlé, mais dont tu sais très bien qu'elle est là, dedans, et qu'elle t'attend.