… j’suis d’avis qu’on a tous une musique, quelque chose qui sonne à l’intérieur de nous, qui rythme nos airs. Y’en a plein qui décident de pas l’écouter. En temps de guerre, par exemple, avec les bombes pis les shrapnels, on entend plus notre musique. On est forcés de marcher au pas, pis on finit par se perdre. C’est la même chose en amour : mais, dans ces cas-là, c’est le cœur qui vient fausser le tempo.
(vlb, p. 59)