Farah s'était avancée, toute tremblante. Parvenue à la hauteur de sa mère, elle l'avait regardée, et ce que Fatimah avait lu sur les traits de sa fille l'avait émerveillée : ce n'était pas de l'horreur, mais du chagrin. Simplement du chagrin. Des larmes avaient coulé sur son visage et elle avait juste dit : Pauvre maman, comme tu as dû souffrir.