« Rabbi, qui a péché pour qu’il soit aveugle: lui ou ses parents ? ». Et voilà Dieu de nouveau cantonné à tenir des comptes, et nous voilà dans la jouissance idiote d’experts-comptables traquant les fautes. « Ni l’un, ni l’autre » répond Jésus, et je l’imagine un peu las. Il a autre chose à proposer, il le fait d’ailleurs dans la foulée: « Mais AFIN QUE les œuvres de Dieu se manifestent en lui, tant qu’il fait jour, il nous faut travailler aux œuvres de celui qui m’a envoyé ». (p. 98)