Son récit va et vient entre réflexions,petites notes fines sur le présent et
l'évocation du passé.
Les grands-mères,les oncles et les tantes sont décrits avec une tendre lucidité,la vie difficile dans le camp de réfugiés à Trieste,le Silos, avec une élégante pudeur.
En filigrane apparaît discrètement un joli portrait de femme.
(source: Fabienne Pascaud)
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