Les systèmes informatiques gérant les paramètres de la locomotive ont indiscutablement été piratés. Le conducteur ne pouvait en aucun cas garder le contrôle de son train en l’état et ne peut être tenu pour responsable de la catastrophe. Les services spécialisés de la fédération du Canada soupçonnent une action émanant de hackers d’origine russe, si l’État russe lui-même n’est pas derrière cette affaire.