Maryna Uzun

[...]
Il peint ses "excentricités"
Aux vingt pastels tout épointés
- Par un usage frénétique
De son bambin, si drolatique ! -
Puis fond en pleurs lors des séances
Des vieux cartoons de son enfance
Que prend à coeur son garçonnet...
Pleurs du bonheur ou du regret ?

Des sentiments retardataires...
Mais le bonheur, c'est... de l'éther !
C'est un liquide volatil
Qu'on laisse fuir, tels des babils
Tel quelque chose d'infantile...
Tel quelque chose de futile...
[...]
("Postface")