Quand j'ai commencé à venir ici quotidiennement, la véranda hébergeait un bar où les écrivains achetaient des cigarettes ou divers produits alimentaires "à emporter" (café, cacao, des conserves de viandes, du fromage, parfois des fruits exotiques). Dans les années de la pénurie alimentaire, autour des années 80, l'accès à ce bar ouvrait tout simplement une fenêtre sur le paradis.