oui, il fallait que je me reprenne, que je retrouve la volonté de lutter, si ce n'était pas pour moi qu'au moins je lutte pour mes enfants qui ne demandaient qu'à vivre, qu'à passer ce mauvais cap à l'abri de mes bras de mère qui leur étaient tout autant nécessaires que le ventre d'une chienne pour ses trois chiots.