J'ai regardé son œuvre. Dans les moindres détails, je crois.
Et j'ai pleuré, comme je ne l'avais jamais fait. J'ai pleuré sur son épaule pendant de longues minutes. Versant peut-être les litres d'eau salée que j'avais économisés pendant des années. Voire même toute ma vie.
« Tu es mon faiseur de rêves. »
Voilà la seule phrase qui a pu sortir de ma bouche.