L’immense hall est rempli d’ombres, j’écoute le balancier de l’horloge avant d’ouvrir la porte sur la nature. Après avoir traversé pieds nus le jardin et la lande humide, je m’assois contre un sorbier en lisière de forêt pour respirer les odeurs de cette terre encore toute parfumée par la nuit et j’attends de me dissoudre en rosée.