Non que je sois une fille extrêmement courageuse à la base, simplement je crois que, sur le coup, j’ai arrêté de ne penser qu’à ma pomme. Et c’est peut-être ça, le courage, au fond. On oublie ses propres soucis en voyant que quelqu’un d’autre est en danger. Ou alors c’est qu’il existe une limite à la peur qu’on peut ressentir et que je l’avais atteinte.