L’avenir à Davos ? Les pauvres cons qui avaient épargné sou après sou pour acheter leur jardinet de 175 mètres carres basculaient dans l’effroi de la misère, en fin d’existence, parce qu’entre un cocktail et un colloque, un fonds de pension investi imprudemment s’était effacé, englouti, simple série de chiffres disparaissant des écrans d’ordinateurs. Des vies étaient ainsi précipitées dans l’abime. Qui s’en souciait ?